En 2003, j’ai quitté Vienne, où j’ai grandi, pour venir étudier dans le Grand Montréal. Comme j’avais étudié dans un lycée français, le Grand Montréal représentait pour moi une bonne synthèse entre le monde francophone et anglo-saxon.
J’étais déjà venu dans le Grand Montréal pour rendre visite à un ami avant de m’inscrire à l’université et j’avais beaucoup aimé mon voyage.
Étant polyglotte, le fait qu’on y parle français et anglais était parfait pour moi. La beauté ici est qu’on finit tous par se comprendre, à se respecter mutuellement et que la diversité est célébrée. Dans le Grand Montréal on arrive à faire de belles choses ensemble.
Après mon baccalauréat, je suis retourné en Europe pour me rapprocher de ma famille, réussir le concours d’une grande école, mais aussi pour travailler dans des organisations internationales.
J’ai cependant toujours gardé contact avec le Grand Montréal. J’étais très impliqué dans les activités de l’université et je me suis constitué un solide réseau d’amis. Entre 2007 et 2013, je suis revenu très régulièrement dans le Grand Montréal pour des vacances.
En 2011, une de mes amies montréalaises est devenue mon amoureuse. C’est donc l’amour qui m’a ramené pour de bon dans le Grand Montréal en 2013 ! Comme j’adore la métropole, le choix de m’y installer définitivement n’a pas été difficile. Je travaille maintenant pour une grande entreprise d’ingénierie qui a des activités partout dans le monde.
Ce que j’apprécie le plus du Grand Montréal? Peu importe son origine ou sa religion, ici, on peut réussir et il fait bon vivre. Les milieux de travail sont bien moins hiérarchisés qu’en Europe. En fait, toute la société est beaucoup plus fluide. Et il y a ici un potentiel humain extraordinaire. Le Grand Montréal est une métropole qui joue dans la ligue des champions et qui n’a rien à envier aux autres !