Pourquoi j’ai choisi Montréal

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Date
9 septembre 2019
 

Laissez-moi vous raconter le parcours qui m’a amené à vivre à Montréal.

Je suis originaire de Bogota, en Colombie, et j’ai toujours été curieux de découvrir tout ce que le monde a à offrir. Je souhaitais – et je souhaite toujours – visiter une foule de pays. Pas seulement pour voyager, mais aussi parce que j’aimais l’idée de repartir à zéro là où tout serait nouveau : la langue, les amis, les activités.

Plusieurs possibilités s’offraient à moi. En fait, il y en avait quatre : l’Australie, l’Angleterre, la France et le Canada. Comme je n’arrivais pas à prendre une décision en me fondant sur des photos et des témoignages, je suis allé dans chacun de ces pays pour me faire une meilleure idée (sauf en Australie, située beaucoup trop loin, ce qui a facilité mon choix).

Je visais à faire ma maîtrise à un endroit stimulant et propice à mon épanouissement. J’adore la France et l’Angleterre, mais à mon arrivée à Montréal, j’ai tout de suite su que j’étais à ma place. Mais… pourquoi donc?

Mes principales raisons

L’un de mes objectifs premiers était d’étudier et de vivre dans une ville multiculturelle et animée. En revanche, je recherchais aussi la sécurité et la possibilité de trouver tout ce que je voulais sans me sentir intimidé.

À Montréal, je me suis vite senti chez moi, plus que jamais auparavant. J’y vis depuis huit ans et j’ai toujours l’impression d’être d’ici, avec les yeux d’un touriste à l’occasion. C’est spécial.

Je souhaitais faire des études et Montréal m’offrait tout ce dont j’avais besoin : une éducation d’excellente qualité, des universités qui figurent parmi les meilleures au monde et la possibilité de m’y installer. Parmi les pays que j’avais envisagés, le Canada était le seul qui facilitait l’obtention de la résidence permanente. J’ai donc tenté ma chance.

L’une des raisons qui m’ont poussé à demeurer à Montréal est le dynamisme qu’on y trouve en matière de langues. Je n’ai jamais vécu dans une ville bilingue (parfois trilingue, selon les circonstances). Cette particularité rend Montréal un peu plus riche que les autres villes sur le plan culturel. En plus d’améliorer mon anglais, j’allais aussi apprendre le français, ce que j’ai fait.

Et après huit ans, qu’en est-il?

C’est incroyable à quel point ces huit années ont filé! Dans la ville cosmopolite de Montréal, je me sens chez moi plus que jamais.

J’y ai vécu les expériences les plus passionnantes de ma vie grâce à cette aventure que j’ai amorcée il y a des années. À partir du moment où j’ai posé les pieds ici, ma vie a changé. Je me souviens de tout comme si c’était hier.

J’occupe maintenant un bon emploi qui me comble, et même si je voyage encore, je reviens toujours à la maison, à Montréal. J’ai l’occasion de poursuivre mes rêves dans un pays où je ne me suis jamais senti seul.

Les points de vue exprimés dans cet article sont ceux de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement ceux de Montréal International.